jeudi 23 février 2012

Je ne comprend pas l'Espace Culturel

Pas plus tard qu'hier, je demande à ma mère de m'emmener à la médiathèque: j'avais le Ultimate Kylie que je devais rendre depuis un mois. Un bijoux ce best-of... Enfin bref. J'ai demandé à ma mère si elle pouvait me rejoindre après ses courses à l'Espace Culturel dont je ne citerai pas la marque.

Je désirais aller dans ce magasin pour acheter l'album de James Blake (son premier et récent en fait) qui me plait bien avec ce mélange de genres: dubstep, soul, électro, trip-hop, bref tout ce que j'aime quoi. Il faut d'abord dire que cet homme révolutionne la musique. Il crée sûrement un tout nouveau genre. Donc j'entre dans l'Espace Culturel, je monte les escaliers pour arriver au rayon des albums. Je traverse quelques rayons "Rap", "Hard Rock", "Musique Classique", pour arriver à: "Variété Internationale". Je cherche de fond en comble, des Beatles, jusqu'à Justin Nozuka, en passant par Justin Timberlake, Bieber, ou encore Demi Lovato, en vain. J'en ai vu des Red Hot Chili Peppers, des Kings Of Leon.

Mais l'album de James Blake?



Ce serait trop demander à cet Espace Culturel de s'intéresser aux vraies nouveautés, bien que je n'ai rien contre Justin Nozuka (bien au contraire), mais quand même: Blake bouleverse l'histoire de la musique. Pour moi, tout ceci doit changer, mais je ne peux rien faire. Je ne vais pas me lancer révolutionnaire des ventes de l'Espace Culturel d'Orthez. Ça ne servirait à rien, vu qu'appremment nous sommes peu à partager mon mode de pensée.

Ce qui fait que je dois m'obliger à attendre pour aller à Lescar-Soleil pour avoir l'album, ou bien commander sur Amazon.fr. Mais voyez-vous, j'adore jouer le "martyr" dans l'histoire.

J'attendrai...